Une image de marque du Congo en Europe, à travers ces 7 femmes.
En cette saison, ces 7 noms sont le choix du conseil international des rédactions du MAGAZINE NGAMBO NA NGAMBO, 1er média en Europe pour la dynamique de la création des Etats Unis d’Afrique sur des bases du Patrimoine de la Femme Africaine, inventrice originelle de ce que certains Grecs appelleront beaucoup plus tard “Démocratie”. «Na bikolo ya mpoto, bankombo ya basi sambo baye MAGAZINE NGAMBONA NGAMBO eponi mpo na eleko oyo.»
Leurs noms sont: Mujinga Kambundji (Suissesse), Blandine Diafutua (Congolaise de la République Démocratique du Congo), Laëtitia Kamba (Française), Candide Okeke (Congolaise de la République Démocratique du Congo), Wedia Pendje (Française), Patricia Kazadi (Polonaise) et Paulette Jacobs (Belge).
Notre réflexion de journalistes indépendants et libres d’esprit dans l’exercice de notre métier de journaliste congolais de l’Europe, a choisi ces 7 femmes. Ce nombre est en synergie le chiffre “Sambo”* (en français le chiffre 7) de notre cosmogonie et spiritualité sacralisées KO et NGO(1).
Avec quelque chose du Congo.
La championne suissesse Mujinga Kambundji est une des meilleures athlètes-sprinteuses de l’Europe. C’est la fille du Congolais Safuka Kambundji. Le MAGAZINE NGAMBO NA NGAMBO avait déjà interviewé ce brave monsieur pour parler de son enfant, la championne et détentrice du record suisse sur 100 m que Mujinga Kambundji avait battu lors du championnat du monde à Pékin et des championnats d’Europe 2014 à Zurich. Elle court comme la vitesse du NGO (Léopard) avait-dit une princesse congolaise de la dynastie Ndonga Nkenge qui ne quitte jamais son poste de télévision quand l’athlète Mujinga Kambundji participe à une compétition d’athlétisme.
Depuis ses activités de combattante-résistante Blandine Diafutua, la Congolaise de la République Démocratique du Congo, a émergé comme une leader d’opinion politique qui occupe un espace politique dans la Résistance congolaise en Europe et ainsi qu’au Congo. A l’allure où vont les choses, il y a des fortes probabilités pour Mme Diafutua de jouer un rôle majeur en politique dans le Congo de demain.
La présentatrice-productrice des émissions de radio Paulette Jacobs qui vit à Bruxelles, parle aussi la langue internationale Lingala. La radio demeure toujours un média très populaire malgré l’arrivée d’internet. Ainsi, madame Paulette JACOBS a ses exigences dans l’excellence pour animer et présenter des sujets à médiatiser. D’où un constat : ses émissions sont des références en termes d’architectures, des contenus et des présentations de ses émissions. Une certaine idée qui valorise aussi le peuple du «Congo ya bankoko» vu les diverses crises morales, éthiques… qui frappent des foyers.
La Résistante-Combattante Candide Okeke est avec le peuple congolais et pose régulièrement des actes patriotiques pour le combat auquel elle participe pour un Congo radieux, démocratique et libre. Elle figure parmi les femmes congolaises qui ont émergé dans la résistance et qui combattent l’occupation du Congo. Sur le plan international, elle a été une première patriote qui avait alerté le cas emblématique du viol de guerre dont a été victime la Congolaise Jeannette Abidge (viols massifs en temps de guerre du conglomérat des agresseurs AFDL, séquestration comme esclave sexuelle de Mlle Abidge, mineure au moment des faits) ; mais hélas la nébuleuse et illégale prétendue “Communauté internationale” a laissé “coacher” et monter en grade le suspect.
La Française Laëtitia Kamba, fille de la Congolaise Godé et du Congolais André Kamba, fait encore la fierté qui a allumé quelque chose du Congo, à Rio de Janeiro. Étant joueuse internationale de l’équipe féminine de basket de France, Laëtitia Kamba est entrée dans une légende car elle est la première basketteuse “muana mpe ya Congo” à avoir participé aux Jeux Olympiques. C’est de l’inédit.
La Française Wedia Pendje est une artiste-peintre exceptionnelle. Des Congolaises et Congolais de l’Europe devraient massivement la soutenir car elle a beaucoup de mérite. Ses tableaux sont uniques avec un style particulier. Wedia est aussi comédienne, écrivaine et musicienne-chanteuse. Née à Paris, rentrée au pays à l’époque du Zaïre, de retour à Paris, elle porte une dimension qui fait honneur à une image de marque que nous faisons coller sur le visage de la République Démocratique du Congo, ce “coffre-fort” du monde.
La Polonaise Patricia Kazadi, chanteuse à succès, fait souvent la “Une” des médias en Pologne où des gros titres sur elle qui dépassent même les caractères d’imprimerie consacrés à la titraille sur la femme du président américain Donald Trump.
Kazadi avait déjà accordé une interview au MAGAZINE NGAMBO NA NGAMBO et ne connait pas le Congo de son père, le Congolais de la RDC. Patricia “Trish” Tshilanda KAZADI, née d’une mère polonaise à Varsovie (capitale de la Pologne), est une actrice, chanteuse, danseuse et présentatrice de télévision polonaise très en vedette. Mlle Kazadi ne parle aucune langue congolaise mais grâce à son charisme, Patricia Kazadi fait briller “quelque chose puissante du Congo”.
Document «Nos choix. Décembre 2017» sous la direction du rédacteur en chef Lilo Miango/Rédaction de Paris.
*On peut décliner ce “Sambo” en “sambela” (prier), “sambisa” (juger avec dignité et intégrité morale)…Toutes ces déclinaisons amènent à l’idéal des valeurs de l’Être Suprême, le Seul Juste.
Pour 2018, nos voeux appellent à comprendre, à respecter les femmes et à tenir ces voeux surtout mpo na mibali ya mafinga ya bozoba sur internet, réseaux sociaux…
(1) KO et NGO, ces deux valeurs de notions au départ séparées, ensuite collées ensemble avec des habitudes humaines et finalement donnèrent cette appellation universalisée “Kongo”,”Congo”
Mots-clefs : Blandine Diafutua, Candide Okeke, Laëtitia Kamba, Mujinga Kambundji, Patricia Kazadi, Paulette JACOBS, Wedia Pendje