Parmi les 49 Africains bloqués en Méditerranée, il y a Bob Kiangala, un Congolais.
«Congolais ya ngambo to ya RDC?». «Koyoka ndenge elobeli ya ki français na ye, azali muana ya ekolo RDC». Dans les deux navires «Sea Watch 3» et «Sea Eye» de ces 2 ONG allemandes bloqués depuis 2 semaines ou 3 semaines (décembre 2018 et janvier 2019) dans les eaux de la mer Méditerranée à l’île de Malte, on nous signifie la présence abord de 49 Africaines et Africains. Une opinion largement répandue en Europe les appelle des “Migrants”. Parmi eux, il y un Congolais. Son identité est connue. C’est monsieur Bob Kiangala. Le Congolais a même accordé certaines interviewes très médiatisées pour sa cause.
En mer, dans ce bateau depuis plusieurs jours: des Africains bloqués.
3 petits enfants africains dans ce piège, en mer.
Le “Sea Watch “,l’une de ces deux ONG allemandes dit aussi qu’il y a 3 enfants. Ces petits enfants ont des droits inscrits dans le marbre de l’ONU et dans des législations des divers pays européens; même s’ils sont originaires de l’Afrique sub-saharienne.
Et dans la communication de ces deux ONG aux médias, il est indiqué que la plupart de ces Africains sont des originaires du Nigeria, de Libye et de la Côte d’Ivoire et sont dans des conditions sanitaires et psychologiques qui ne cessent de se détériorer.
Haaah bon, hélas, même des Libyens.
Dans ces cas précis, ces Libyens regrettent tous le temps du drapeau vert avec la Jamahiriya Libyenne avec le Guide Mouammar Kadhafi. Toutes les Libyennes et tous les Libyens, y compris ceux qui sont sur ces bateaux des ONG allemandes vivaient très bien chez eux. Ils y étaient mieux que des Européens de certains pays européens. Le Royaume des Pays-Bas et l’Allemagne ont donné des signes prêts pour accueillir ces Africains.
Les vagues: ça tue en mer Méditerranée.
L’argent de la FrançAfrique: silence.
Depuis la Suisse, le MAGAZINE NGAMBO NA NGAMBO a tenté de joindre ces réseaux de FrançAfrique réputés détenir des masses d’argent en provenance du continent africain: “Ata liloba ya pamba. Eloko te”(en langue internationale Lingala:”silence. silence lourd” ).
Lilo Miango/Rédaction de Paris et Nkumu/Rédaction centrale Europe, en Suisse.
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