Que signifie cette affaire de “vente de la résidence de l’ambassadeur de la RDC”, à Paris ? Pourquoi ces nouveaux rebondissements ?
La Convention de Vienne sur les relations diplomatiques dans l’affaire judiciaire qui oppose à Paris un couple libanais et L’État de la République Démocratique du Congo par rapport à un procès qui s’était passé à Kinshasa: POURQUOI CE REBONDISSEMENT MÉDIATISE EN JUILLET 2021 DE L’AFFAIRE “VENTE DE LA RÉSIDENCE” EN FRANCE DE L’AMBASSADEUR CONGOLAIS?
“Mbilinga mbilinga na kosamba awa na Paris” (Casse-tête judiciaire à Paris). Des privés, madame Leïla Bounafeh Abou Lahoud et monsieur Antoine Abou Lahoud (via cabinet avocats Derains et Gharavi) avaient assigné devant la justice française l’État congolais de la RDC. Ce couple d’entrepreneurs libanais veulent obtenir réparation suite à l’expropriation d’une parcelle à Kinshasa, en 2005, que leur entreprise Imporex occupait dans la capitale de la RDC. Le procès avait eu lieu à Kinshasa et le couple Abou Lahoud n’avait pas eu gain de cause.
“C’est ainsi que cette famille de la société Imporex (créée le 23 mai 1991) avait choisi de porter l’affaire devant une justice internationale, Cirdi”, voilà ces propos tels qu’ils ont été formulés au MAGAZINE NGAMBO NA NGAMBO.
Est-ce qu’en matière de ce genre de conflit judiciaire, la justice française (via les réalités ignorées par Cirdi) peut être considérée comme la justice internationale ? Et cette justice de la France a-t-elle les compétences de faire saisir et vendre ce bien, la résidence diplomatique de l’ambassadeur de la mission diplomatique de la RDC, à Paris ?
CE QUE DIT MR. YENDE, UN COMBATTANT CONGOLAIS DE PARIS: monsieur le journaliste Kamite, voyez-vous ce conflit “ya “mabe mingi” laissé par le régime totalitaire d’occupation du “Tutsi Power Rwandais” dont fait partie le josephiste Joseph “Kabila”, ami-ami du système criminel Kagamiste de Paul Kagame. Joseph “Kabila” est nommé Hippolyte Kanambe ici dans la diaspora.
“Stopper momentanément l’achat des terrains par des étrangers…trop de procès des étrangers contre l’Etat de la RDC”.
SELON NOTRE MICRO-TROTTOIR dans les rues et des milieux de notre diaspora congolaise, il faut stopper momentanément l’achat des terrains en République Démocratique du Congo par des Chinois, Libanais, Indiens, Tanzaniens, Pakistanais, Angolais, Sud-Africains, Zimbabwéens, Burundais, Sri-Lankais, Rwandais, Congolais du Congo-Brazzaville, Centrafricains, Ougandais, Américains, Belges, Italiens…Il y a trop de litiges en justice avec des étrangers contre l’Etat congolais”.
CETTE AFFAIRE dont Magazine Ngambo Na ngambo parle ici, est UNE TRES GRAVE CONSEQUENCE des plusieurs conflits croisés entre les enfants du 1er lit du feu puissant homme d’affaires Litho Moboti (GLM, décédé en février 1982) et un autre enfant du second lit nommé Litho Moboti Nzolu Pakwa “Pitchou”, managé par certains dignitaires politiques “les occupants et leurs congolais soumis collabos” de l’OBMA/Office des Biens Mal Acquis issu du conglomérat des mercenaires et rebelles AFDL qui renversa le président Mobutu.
Pitshou Litho Moboti Nzolu Pakwa “fit un business COOP de vente” avec un businessman libanais Ghassan Abdul Hussein Dakhlallah. Et ce dernier, Mr. Dakhlallah a eu à faire des affaires en 2004 avec le couple des entrepreneurs Abou Lahoud. Et la bataille commença en 2005 avec cette expropriation par l’Etat de la RDC imprégnée les méthodes et les mentalités des “occupants et leurs soumis congolais” de ce système mafieux politique joséphisme Joseph “Kabila” qui pollue encore des mentalités mafieuses ya Ki moyibi au Congo.
Droit international reconnu. L’État de la République française est signataire de la Convention de Vienne sur les relations diplomatiques adoptée le 18 avril 1961 par des États du monde dans la capitale de l’Autriche, à Vienne.
Il s’agit d’un traité international “légiférant” les rapports diplomatiques entre États, l’immunité du personnel diplomatique et l’inviolabilité des ambassades (cas de la résidence de l’ambassadeur de la RDC en France).
C’est depuis le 24 avril 1964 que cette convention est entrée en vigueur. Cette convention a été complétée en 1963 par la Convention de Vienne sur les relations consulaires.
Lilo Miango/Rédaction de Paris.