Paris. Le discours tant attendu sur les 10 ans de l’APARECO a été fait par le leader politique congolais Honoré Ngbanda, son président national. Cette allocution événementielle était projetée sur un écran géant. En effet, depuis un laps de temps, il ne vit plus en France et c’est l’initiateur de la résistance patriotique contre l’occupation du Congo par des extrémistes Tutsi rwandais et ces infiltrés étrangers (Occidentaux et Africains). Leurs noms sont ,désormais, connus dans la diaspora congolaise. Récit de cette journée du 10 ème anniversaire de l’APARECO.
Nos commentaires sur l’allocution de circonstances du politique Ngbanda : il est devenu réellement depuis l’exil un vrai leader politique avec une vision dans les réalités politiques congolaises. Mr Ngbanda est devenu un poids lourd avec une dimension internationale.
Quel discours fort et pertinent ! Il y a des cohérences transparentes, lisibles et visibles des vérités de celui qui est devenu depuis son exil un véritable leader grand politique. Son discours laisse des empreintes historiques. Et des esprits sont marqués. Ces vérités cohérentes de Mr. Honoré Ngbanda s’articulent sur des faits historiques et un bilan noble de l’APARECO. Pour des Congolais qui ne savent pas encore, il a fait une démonstration des fonctionnements des mentalités d’agression d’une certaine élite occidentale depuis la Conférence de Berlin de 1885 en passant celles qui ont crée la dernière phase de l’agression guerrière contre la population citoyenne de l’actuelle République Démocratique du Congo. De facto dans cette salle, des applaudissements de ces Congolaises et Congolais jaillissaient à l’unisson et avec des convictions lors de cette manifestation politique. Pour moi, ces jaillissements étaient comme ces sources exceptionnelles d’eau dans le secteur géographique de Mankende(Nord-Ouest dans l’actuelle RDC). C’est une cité royale du 18ème siècle bâtie par la “Mukoko” Lompata. (“Mukoko”,titre de noblesse signifiant “Sa Majesté la Grande Reine”). Cette image de sources d’eau, je l’ai utilisée pour dire que des foules congolaises et des gens étrangers iront fréquemment consulter ce discours “comme on boit de l’eau”. Et cela comme ces êtres humains de cette Cité de la Grande Reine, qui vont fréquemment boire et prendre de l’eau dans ces sources majestueuses.On a trouvé son discours transparent comme l’authenticité de l’eau de ces sources ndenge“Ebanda bankoko”(l’eau étant un symbole de la vie et de l’espoir).Pourquoi dans ce récit journalistique sur les 10 ans de l’APARECO à Paris, notre référence à une histoire, une sociologie et une ethnologie de l’aire “KO” et “NGO”** (“KO”=continent, territoire très vaste/”NGO”=Léopard comme icône de Dieu); ces deux mots séparés devenus (avec des habitudes humaines et des nouvelles options des temps nouveaux) un seul unique mot: “CONGO”)!C’est par ce que l’espoir a été la thématique très manifeste que notre commentaire relève dans ce discours important et nécessaire historiquement de l’homme politique Honoré Ngbanda. Cet espoir du peuple du Congo doit être concrétisé par des Congolaises et Congolais,selon le message de ce discours.C’est un peu à mon avis le sens ( de la chanson “Congo Avenir” de la star immortelle Tabu Ley Rochereau) mis en exergue au début du discours de Ngbanda.
Applaudissements: une réponse.
Dans la revalorisation du Congo de nos ancêtres lors de ce speech de Ngbanda, des applaudissements du public présent ont été une manière de répondre à son allocution au moment où un certain Joseph “Kabila” a enlevé toute l’autorité traditionnelle (une forme de démocratie de nos ancêtres) à des représentants de nos valeurs politiques traditionnelles. Le joséphiste Joseph tient à effacer l’origine de ce que des mondes actuels appellent “démocratie”. Cette “démocratique” est une invention politique du patrimoine de la Femme Africaine. Et la FEMME AFRICAINE avait donné cela à l’Humanité. Le système “démocratique” est né en Afrique et non pas en Grèce. C’est la colonisation qui a imposé cette vision déplacée dans des mentalités aliénées africaines.D’où,c’était pertinent qu’une femme africaine,Mme Candide Okeke parle lors de cette journée. Ces décisions contre nos valeurs ancestrales par Joseph “Kabila” explique pour le Congo la responsabilité criminelle qui interpelle de Joseph “Kabila” concernant le FEMICIDE des Congolaises. “Fémicide: viols massifs des femmes congolaises utilisés comme armes de guerre de destructions massives car elles sont des Congolaises de la RDC”.“Il suffit aussi de se référer au cas de la Congolaise Jeannette Abidje”, comme certaines ONG ont signalé à notre média). Ce discours de Ngbanda attaque ces viols massifs démarrés en 1996-97. A travers ces applaudissements du public présent: l’animateur et producteur des émissions de radio à Paris, Pierre Kama et moi, nous avons vécu cette dimension d’un moment de l’histoire et de cette actualité politique du Congo, en cette journée du 20 juin 2015. Nous avons connu tout cela depuis cette salle élégante de l’immeuble MAS ( N°10-18 de la rue des Terres au Curé dans le 13 ème arrondissement de la capitale française), cadre de la célébration de ces 10 ans de l’APARECO.
20 juin 2015: une constance dans son discours.
Nous avons suivi avec beaucoup d’attention le fil du temps de ce message de Mr. Ngbanda . Au fil du temps du combat politique dans la diaspora congolaise -Europe depuis 1998, il est devenu véritablement un grand leader politique. Je peux l’écrire maintenant. Mais en 1998, je ne pouvais pas tenir ces propos car Honoré Ngbanda n’avait pas encore ce charisme national et international de résistant leader.Mes observations selon un fil du temps historique de notre journalisme en Europe. J’ai été le premier journaliste congolais de l’Europe à réaliser une interview radio exclusive de monsieur Ngbanda. C’était en décembre 1998. Il venait de publier son livre “Ainsi sonne le glas! Les derniers jours du maréchal Mobutu”. La réalisation de cet entretien était tombée lors des vacances de cette fin d’année 1998. Alors, nous l’avons diffusée le premier jour de la reprise des émissions, à la rentrée.Nous l’avons donc diffusée le matin du 4 janvier 1999 sur les antennes de la radio française FPP 106.3 FM.C’était dans la célèbre émission créée pour tous les peuples africains et les autres peuples du monde. Il s’agit de “Tam-tam Magazine” du journaliste Nzunga Mbadi.Juste après la diffusion, un monsieur a téléphoné en direct à l’antenne. Il s’est mis à m’attaquer personnellement et m’insulter pour avoir interviewé monsieur Honoré Ngbanda. Le journaliste Nzunga, responsable et créateur de cette émission, l’avait remis très vite à sa place car le journaliste en France (pays démocratique et État de droit) a le droit d’aller interviewer tout le monde.Pour ma part,j’avais agi en fonction de la loi française qui a une référence “universelle”(loi de 1881 sur le droit à l’information et la responsabilité du journaliste).Mon collègue Anicet Mobe m’identifiera cet individu à partir du nom que je lui avais donné. C’est un monsieur de notre pays qui avait séjourné en Belgique avant de venir s’installer dans la région parisienne. Et plus tard, j’avais appris les motivations indignes qui avaient poussé ce monsieur à tenir ces propos illégaux et passibles de poursuite devant un tribunal français. Je vous raconte cette anecdote quand j’ai entendu dans son discours du 20 juin 2015, monsieur Ngbanda faire allusion à des insultes…qui pleuvaient au début de son combat politique lié à l’histoire de l’APARECO. Pour revenir à mon interview radio: c’est un travail très professionnel avec une éthique et une déontologie du journalisme. Et il faut dire et répéter que le journaliste Nzunga Mbadi,malgré sa personnalité modeste, est pour nous,une référence.D’où, il ne fait pas passer n’importe quoi à l’antenne. Docteur en journalisme, le journaliste Nzunga Mbadi a été au pays en 1966 parmi les premiers présentateurs historiques du journal télévisé dans l’histoire des médias du Congo. En France, c’est le journaliste Nzunga Mbadi qui est l’initiateur de la nouvelle vague pour le journalisme africain et panafricain dans les radios libres officialisées en 1981 sur décision du président français François Mitterrand.Il doit avoir cet enregistrement marqueur dans ses archives. Nzunga fait donc référence avec dignité et respect. C’est lui qui a personnellement contribué à faire émerger cette nouvelle vague du journalisme africain et panafricain (radio) en France. Et aujourd’hui, on apprécie les retombées positives à l’avantage des jeunes journalistes noirs en France. Celles et ceux-ci ignorent peut-être ce que cet aîné réalisa dans cette France. Il est journaliste libre avec une indépendance d’esprit. Il possède l’expertise et l’expérience avec une éthique et une déontologie dans le journalisme.Donc en guise de rappel, Nzunga ne faisait pas passer n’importe quoi sur les antennes de cette station française de radio, un média très engagé sur le droit expression puisé dans l’histoire des luttes politiques en France. Cela veut dire que cet entretien exclusif avec Honoré Ngbanda était un travail journalistique de qualité vu aussi les réponses de l’interviewé. Ce politique congolais n’a pas eu la langue de bois. Ce compatriote à l’insulte facile contre un journaliste, aurait dû apporter une critique factuel en contradiction contre des faits du livre de Mr. Ngbanda. Voilà ce qui aurait intéressé madame et monsieur tout le monde venant de divers horizons. C’était une victoire médiatique de Ngbanda car lui apportait des faits et non des insultes. J’avais réalisé cette interview dans une chambre de l’hôtel Warwick qui donne sur l’avenue parisienne des Champs Elysées. C’était en présence de mon voisin de classe de la faculté universitaire du journalisme de notre pays dont nous sommes de la première promotion. Il s’agit de l’Isti (Institut des Sciences et techniques de l’Information de notre université nationale(Isti devenu plus tard Ifasic).
Discours du 20 juin 2015: une évolution dans un climat de crise sans précédent.
J’ai suivi l’évolution de l’homme politique Honoré Ngbanda Ko Atumba, ici en Europe.Au pays, je ne l’avais jamais rencontré. Et au début des années 2000, j’avais initié des conférences internationales de presse concernant des personnalités du monde.C’était pour le compte de l’APE (Association de Presse Etrangère).L’APE forte de plus de 980 journalistes, est fondée à Paris en 1898(19ème siècle). Ses membres sont surtout des journalistes des continents européen, américain, asiatique et de l’Océanie. Nous journalistes africains, on était à peine 6 personnes. Donc très et véritablement minoritaire.Dans le lot de mes conférences de presse organisées -APE, il y avait des personnalités comme le Dalai Lama, un premier ministre palestinien,des ministres français et africains, des chefs d’Etat, des responsables politiques européens,des maires de France, des universitaires du monde entier,des femmes-chefs d’entreprise ayant une influence dans le monde…et l’homme politique congolais Honoré Ngbanda Nzambo. Le choix de recevoir une personne en conférence de presse relevait de la décision finale après débat démocratique entre des autres journalistes, orgiinaires ces divers horizons géographiques et des médias très variés. Si Ngbanda a été accepté à trois reprises par l’APE dans cette tribune financée par des organismes de l’exécutif français, l’explication est que des messages ou des idées politiques de monsieur Ngbanda ont une importance internationale qui dépasse le cadre local de l’actuelle RDC. Dans cette exercice de la liberté d’expression, des journalistes de diverses nationalités lui posèrent toutes les sortes de questions. Il n’a jamais eu de la censure. Certains confrères américains venaient même spécialement des USA pour des conférences de presse de Ngbanda. Aucun journaliste professionnel ni une personnalité invitée n’avaient insulté ni Ngbanda ni le journaliste libre d’esprit que je suis lors de ces conférences de la prestigieuse APE. Et pourtant des crises politiques au Congo faisaient parler des canons, et d’autres armes lourdes. Quand je suivais son discours sur ce grand écran, l’évolution que je retiens de lui à partir uniquement de son exil politique en France est sa cohérence dans son discours et ce charisme qui commençait à l’habiter. Et c’est un point de vue du journaliste panafricain en Europe que je suis.Pierre Kama a partagé mon avis dans cette salle. Il y a de la cohérence dans ses idées politiques. Il y a de la cohérence dans sa vision politique pertinente et la constance dans son combat politique depuis 1998 jusqu’à ces 10 ans de l’APARECO, célébrés en ce jour du 20 juin 2015.D’où mon constat: il est devenu populaire, acteur politique charismatique et occupe un espace politique très important. et c’est un homme qui compte pour l’avenir du Congo vu qu’il forme beaucoup de jeunes. Dans ce discours tant attendu, monsieur Ngbanda avec l’APARECO, a raison de dire clairement que le Congo est un pays sous occupation. Il mentionne des faits que nos journalistes mentionnent et vérifient dans la lignée du mouvement journalistique lancé depuis le 7 février 1981 à Lausanne.Discours du 20 juin et hommage aux médias congolais. Pour les 10 ans de l’APARECO, j’ai fait un récit journalistique. Ne pas confondre “Récit”, ce genre du journalisme avec le “Reportage”, un autre différend genre du journalisme. Il est important de souligner dans ce discours de Ngbanda ” son hommage aux médias et à des journalistes congolais surtout lors de cette étape du Congo sous occupation”. Je livre mes deux approches. Ya liboso* (Primo). En effet, la liberté de la presse est révélatrice de la liberté générale qui règne dans un pays donné.C’est à partir de cet indice international que l’on peut mesurer la qualité ou la médiocrité d’une idéologie politique au pouvoir. Dans ce discours, il y a un projet pour installer un Etat de droit pour bâtir un Congo plus beau qu’avant avec une presse libre et des journalistes responsables, gérants eux-mêmes la législation sans un trafic d’influence liberticide. Son discours s’est positionné sur ce que je viens de mentionner. Ya mibale* (Secundo). Il y a beaucoup plus de trésors dans les médias que dans tous les coffres forts du monde entier réunis. Ce sont des stratèges qui font référence dans des groupes de réflexions qui parlent ainsi “du pouvoir des médias pour le progrès des nations, des peuples,des communautés, même avec l’arrivée des réseaux sociaux”. Et cela est valable pour la communauté congolaise de l’étranger dont fait partie aussi monsieur Honoré Ngbanda, président national de l’APARECO.Comme nous sommes en France, je prends donc des exemples d’ici: l’empereur français Napoléon, l’écrivain Chateaubriand…, le journaliste congolais Kapampi (Région parisienne), le Collectif des Journalistes Congolais de l’Europe,…des enseignements dans les écoles françaises de journalisme, le journaliste reporter d’images Lutumba, le journaliste nigérien Seidik Abba…Bref tout ce monde des “experts” l’ont dit et prouvé. Dans un pays démocratique, dans un Etat de droit, personne ne doit s’autoproclamer journaliste. Cette honnêteté intellectuelle ou cette intégrité morale sert à respecter “bomoi ya motu”(“Les Droits de l’Homme”). Pour ce Congo de l’État de droit prôné dans ce discours de Mr. Ngbanda, il faut en tenir compte.Sinon, on va tomber dans le mur du josephisme liberticide et criminel du josephiste Joseph Kabila. C’est un usurpateur et imposteur avec ses “journalistes auto-proclamés”. Jadis, ils résidaient en Europe et ils veulent avoir les têtes des véritables journalistes congolais de l’Europe.Dans des États de droit, la qualité légale du journaliste s’acquiert grâce à des lois démocratiques et non pas par le canal d’un clientélisme ou une auto-proclamation. C’est un message au politique Ngbanda par rapport à son discours. Comment peut-on percevoir son hommage à la presse congolaise?Pourquoi cet homme politique parle des “journalistes patriotiques”? De son point de vue axé sur son dynamisme et non pas l’immobilisme politique, l’homme politique Ngbanda considère que c’est un combat politique que des professionnels congolais de l’information médiatisée ont le droit de s’approprier. Tout ce qu’il dit part de l’histoire, l’histoire du Congo et notre pays n’est pas seul sur cette planète Terre. Des lobbies occidentaux ont appelé “l’Etat Indépendant du Congo”(EIC) avec le roi des Belges Léopold II. Ils ont eu leurs médias. Et les journalistes ont été embarqués.Ils ont œuvré non pas pour l’intérêt et le progrès de la population congolaise. Mais ils ont bossé pour l’intérêt des groupes restreints de ces Occidentaux colonialistes qui se sont entendus entre-eux à Berlin pour “exploiter” le commerce, le sol et le sous-sol des Ancêtres des actuels Congolais.Ces journalistes avaient contribué à la “chosification des êtres noirs du Congo et de l’Afrique”. Dans leurs stratégies bien présentées ( vernis sur de la liberté de la presse et de la défense des droits des l’homme et droit à l’information pour tout le monde), ces journalistes concernés avec leurs patrons avaient eu un grand pouvoir(dit “4ème pouvoir”) dans leurs traitements des informations. Cela n’est pas anodin. Qui détient les médias détient le pouvoir. Cela se lit dans ce discours à l’Apareco et au monde. Et leurs médias qui ont été une vitrine très attirante pour ces journalistes ; ne faisaient même pas l’affaire des peuples européens qui eux étaient écartés dans le traitement des informations dans les colonies africaines. Avec les temps qui passaient, des gens ont été aliénés,y compris des catégories des journalistes congolais.Et arrivent ces guerres de basse intensité imposées au peuple Congolais depuis 1996-97 avec l’occupation. Des gens sont encore aliénés. Des médias dans des pays occidentaux n’ont jamais travaillé pour donner des informations exhaustives médiatisées aux grands publics congolais et étrangers sur les réalités criminelles de ces conflits armés récurrents. Ce que Ngbanda dit clairement dans son discours, les 68 journalistes de notre réseau “Mouvement Ngambo Na Ngambo-Journalistes congolais en Europe”[1] fondé le 7 février 1981 à Lausanne, nous l’avons vécu. Et nous continuons à le vivre. Il suffit de lire nos textes éditoriaux du Magazine Ngambo Na Ngambo qui expliquent que les médias sont des produits de la géo-politique et de la géo-stratégie.Et cela selon les contextes ou la durée.Mais un nombre impressionnant des membres des classes politiques africaines font la politique de l’autruche. Lors d’une cérémonie sur les 10 ans,monsieur Ngbanda est le premier politique qui le dit clairement sans langue de bois dans cette dimension du Congo,pays sous occupation. Ces passages de son discours en hommage aux médias montrent que le leader politique Ngbanda fait bouger les lignes dans ce créneau des médias. Il plaide pour la refondation. Que des journalistes congolais avec une sociologie congolaise de dire vrai pour des faits vrais liés à cette guerre de basse intensité d’occupation du Congo. Des passages de son discours politique d’avant-garde montrent qu’il y a des Congolais qui ont crée des radios “on line” d’une manière générale.Ainsi, ils prennent en charge eux-mêmes la communication pour dire vrai et montrer la réalité au souverain primaire.Et cela sans les moyens dont disposent des médias “mainstream”.Les souffrances et les tragédies des Congolaises et Congolais avec ces terribles viols de guerre contre des Congolaises car elles sont Congolaises de la RDC, ne doivent plus jamais attendre des remèdes “informations”de la part des journalistes des médias “mainstream”. Vu des positionnements ,vu des financiers privés ou étatiques et vus des idéologies des réseaux “impliqués” dans la tragédie congolaise.Pour les faits historiques sur le Congo, il n’est pas possible que des gens ” auto-proclamés journalistes disent n’importe quoi à l’antenne”. On parle à la radio, on devient journaliste. On prend une caméra, on devient journaliste. On fait un site, on devient journaliste.Voilà un chaos dans ces mentalités dont des manipulateurs comme Lambert Mende, “dansent”. Dans des pays européens, il y a des écoles et des centres de formations pour devenir journaliste, un métier ouvert à tout le monde. Il faut encourager des Congolaises et Congolais dans ce sens.Le peuple congolais est intelligent. Sa mémoire collective connait la tradition de l’excellence en matière du journalisme congolais daté de 1960.Je vous ai donné un seul exemple parmi tant d’autres. C’est le cas du journaliste universitaire congolais Nzunga Mbadi… Dans l’APARECO pour ses 10 ans, ce fait dans la tradition journalistique congolais de l’excellence et de la rigueur n’a pas été jeté dans les poubelles de l’histoire. Au Congo, des gens où sont sous-informés vu la paupérisation et les conflits armés récurrents. Le pouvoir impopulaire imposé au peuple congolais a fait émerger des journalistes “collabos” et “des journalistes auto-proclamés”. Hélas,ils participent à la propagande criminelle, génocidaire des extrémistes Tutsi rwandais qui occupent le Congo.Quand à l’appellation “journalistes patriotiques” contenue dans le discours historique de Mr. Ngbanda, cela mérite une attention car être journaliste implique une traçabilité (études de journalisme reconnues par la profession, un dynamique d’éthique et de déontologie et une reconnaissance par la loi ad hoc et en additif une traçabilité aux services impôts). C’est ainsi que nous interprétons son message d’hommage aux médias, et partant à des journalistes congolais de l’Europe.
Cette jeunesse est un modèle admirable.
Ces 10 ans de l’APARECO (Alliance des Patriotes pour la Refondation du Congo): nous avons vu que cette alliance travaille beaucoup pour des jeunes. La jeunesse congolaise fait partie des priorités dans leur programme. Des jeunes ont été également un moment intense dans cette adresse historique de monsieur Honoré Ngbanda.Le Congolais J.M. Mukoko m’a dit:” la jeunesse de la RDC fait partie du patrimoine prioritaire de la résistance politique congolaise”.Des jeunes congolaises et congolais avaient pris en main la tenue de cette manifestation.Voilà un symbole de cette jeunesse congolaise de l’Europe: lucide, d’esprit critique, travailleuse pour aider le peuple du Congo.L’illustration est aussi dans le verbe de ce discours. C’est un modèle admirable dans cette marche complexe pour sensibiliser à la fois un maximum des Congolais et un pourcentage fort élevé des peuples occidentaux.Le peuple français et les autres peuples occidentaux dans leur ensemble ont le pouvoir des urnes et réagiraient autrement massivement s’ils étaient vraiment au courant de “qui fait quoi” à partir des pays occidentaux pour provoquer des massacres et des pillages au Congo. Il s’agit du grand Congo de Patrice Lumumba à qui monsieur Honoré Ngbanda a rendu aussi un hommage lors de son discours du samedi 20 juin 2015. Les peuples européens sont des êtres humains et ils ne sont pas insensibles aux souffrances des autres peuples humains. Ce sont des catégories des élites occidentales qui créent des problèmes terribles au Congo. L’Apareco demeure le seul à avoir un discours percutant. Cela sensibilise des jeunes ici dans cette partie de l’Occident. ” L’aliénation avec l’occupation est partie d’ici. Et le changement partira d’ici. “La jeunesse agit et a entendu le message du discours historique” nous a dit une jeune congolaise présente dans cette salle du bâtiment MAS.L’animateur de radio Pierre Kama et moi, nous avons vu des Congolaises et Congolais,membres ou pas membres de l’APARECOIls sont venus de quelques pays européens, Danemark, Suède, Irlande(Dublin), Angleterre, Allemagne, Luxembourg, Belgique, Suisse et Pays-Bas. Ils étaient satisfaits de cet événement et du contenu de ce discours de monsieur Ngbanda. Parmi eux, il y a eu Tata Mapasa et sa femme (Londres) qui nous dit : “nous sommes toujours au front, au premier plan dans ce combat pour mettre fin à l’occupation du Congo”. Des gens qui ont quitté l’UDPS sont venus adhérer dans l’APARECO. C’est leur liberté et choix.
Discours du 20 juin 2015 de Ngbanda: Congo pays sous occupation.
Je donne certains faits sur l’occupation du Congo,depuis 1996. Et cela après avoir vu de mes propres yeux une situation de violence en France. Le discours de Ngbanda me fait remonter cette histoire.Une personnalité et ses deux membres du parti, combattaient Mobutu. Ils avaient été victimes en 1986 sur le sol de France des menaces verbales violentes et chantages de la part des Banyarwanda.Ces Banyarwanda accompagnaient un monsieur dont le nom figure plus bas.Banyarwanda( les enfants du Rwanda) ! C’est ainsi que des habitants de Kinshasa et d’ailleurs au Congo/Zaïre désignent des citoyens rwandais résidant dans notre pays. Le jour “J” de cette réunion(1986): des Banyarwanda et quelques Occidentaux s’exprimant en anglais y étaient .Ce jour-là, il m’a été demandé par un de mes parents présents de parler à ce monsieur car c’est lui qui avait envoyé un message pour rencontrer ce parti. Je relate cela suite au mode opératoire des agresseurs dont parle Ngbanda. Ce jour-là, j’avais été appelé en urgence pour venir chercher un des miens pour éviter qu’il soit victime d’une probable violence physique. Et ce monsieur à qui il m’a été demandé de lui parlé était… Laurent-Désiré Kabila. Mais en ce jour de l’année 1986, ce nom de ce compatriote ne me disait rien. Et je n’avais même pas un intérêt à prêter attention sur son profil. Je ne faisais pas la politique bien que je suis journaliste qui couvre des sujets politiques jusqu’à présent.Mon problème en ce jour de 1986 était personnel et familial. J’avais été appelé à l’aide en urgence à partir d’un téléphone d’un café(bar français pour des Congolais non initiés à cette appellation). J’avais pris quelques “bayaya” de Paris( ici ,ce mot en argot Lingala veut dire :”amis dévoués et prêts à aider, même pour une situation de légitime défense”) Et l’objectif a été atteint, chercher ce membre de ma famille pour qu’il rentre chez lui,sain et sauf. Et plus tard en 1996, quand j’entends parler de cette guerre dite de” l’AFDL de libération du Congo avec Laurent-Désiré Kabila” ou dite ” des Banyarwanda, baptisé par un enchantement “Banyamulenge réclamant par les armes l’accès à la nationalité “.Cette histoire de 1886 que j’avais vécue sur le sol français.En 1996, je l’avais racontée à l’antenne d’une station de radio française. Mais le responsable de l’émission m’avait censuré. C’était un Français. Un journaliste qui censure un journaliste.Le discours dominant même chez mes collègues journalistes africains a été d’accabler le peuple de notre pays.Et c’est un confrère camerounais, le journaliste Charles Onana qui apportera la lumière sur cette guerre. Et Ngbanda a été le seul “Officiel” du pays qui a dit la vérité réelle et claire au groupe des journalistes dont je faisais partie, sur cette guerre. Et quand monsieur Ngbanda parle du Congo,pays sous occupation en ce 20 juin 2015 , une jeunesse congolaise de l’Occident n’a pas les oreilles d’un sourd-muet d’autant plus que ce même langage avec des fait. C’est ce qui explique aussi l’apparition d’un phénomène politique inédit dans l’histoire politique congolaise (volet international avec des conséquences dans la vie politique intérieure du Congo, le grand Congo): le phénomène des Combattants, le phénomène des Combattants-Résistants-Patriotes..tous INGETA.
Programme du jour.
Cet événement sur les 10 ans de l’APARECO avait débuté par la projection du film “L’Afrique en morceau” (durée: 1H45). C’était pour honorer la mémoire de toutes les victimes mortes à cause d’un système de barbarie dû à cette occupation et à des groupuscules “Collabos” congolais. Ensuite c’est le président régional de l’Apareco/Europe, madame Candide Okeke (directrice du cabinet du président national de l’Apareco) et le vice-président Ndala qui se sont exprimés avant l’allocution tant attendue de Mr. Honoré Ngbanda. Le programme de cette manifestation a été fixé de 13H à 18H. Un buffet-cocktail a été offert pour accueillir les nouveaux adhérents. Toute l’assistance présente y a pris part. c’est un signe de solidarité. Lilo Miango/Rédaction de Paris. Photo, Paris, salle MAS, samedi 20 juin 2015 : droits réservés Apareco. Le discours historique de monsieur Honoré Ngbanda,président national de l’APARECO(Droits d’auteur réservés, DR: APARECO).