Paris, la capitale des médias français dont certains ont une audience au-delà de « l’Hexagone » dans le non-événement avec la sortie médiatique du 12 et 13 août 2015 de Kin Kiey Mulumba, ancien chef rebelle congolais. Ce billet est en rapport avec une certaine “visibilité” audiovisuelle à travers « France 24 » et « RFI » de Kin Kiey Mulumba, le 12 et 13 août 2015. Cette « visibilité médiatique » n’est pas gratuite mais répond à un agenda calculateur. C’est en réalité une annonce officielle de Joseph Kabila par Kin Kiey Mulumba, une autre dimension des conflits armés imposés à la population congolaise, au Congo, pays sous occupation. Et cela à travers la conservation du pouvoir du josephiste Joseph “Kabila” qui n’est pas du tout un “Kabiliste” (allusion à la politique de Laurent Désiré Kabila)*. Il vient de passer ici en Europe, à RFI et France 24. Mais qui est monsieur Kin Kiey Mulumba Tryphon pour des Congolais de l’Europe? « C’est un Congolais pactisé avec les crimes des extrémistes tueurs tutsi rwandais. Ceux-ci sont des criminels de guerre au même titre que des Nazis allemands auteurs aussi des crimes contre l’humanité planifiés. Et Kin Kiey Mulumba est parmi ces compatriotes ayant fait allégeance à ces mercenaires terroristes étrangers. Pourquoi a-t-il fui un débat radio-télévisé avec des Congolais, ici en Europe que des journalistes congolais sont toujours prêts à organiser ? », tels sont les propos destinés à la compréhension des Françaises, Français et des journalistes français par le politologue congolais Ngoyi (Benelux). Dans sa carte de visite lors de ses passages planifiés à la télévision de l’État français « France 24 » et à la radio d’État français « RFI », le titre mentionné de monsieur Kin Kiey Mulumba Tryphon est « ministre congolais des relations avec le parlement » (NDRL: du régime de Joseph Kabila). Les dessous de sa visite étant un danger pour des journalistes congolais de l’Europe, ce billet a été écrit pour notre contribution pour le devoir, les droits et la protection du journaliste congolais de l’Europe, suite à une intensification de multiplication de visites en France des « autorités » du régime josephiste de Joseph Kabila et des agents de l’ANR(services des renseignements). Ce qui touche des journalistes et médias, touche les peuples et les nations. « Lokito eyokani »[1], a écrit le journaliste Freddy Mulongo de Réveil FM International Billet pour les droits et la liberté.Mbote, bonjour à toutes et à tous. Chers journalistes congolais de l’Europe. Vu les dangers qui planent sur la tête des journalistes congolais de l’Europe à la suite de la série des visites des “autorités” du régime criminel du josephiste Joseph “Kabila”, il est honnête d’avoir des échanges sincères. En effet, ce sont des personnes qui ont vécu en France qui œuvrent pour la « visibilité » prétendue « positive » – (image de Joseph “Kabila” en France). Leur champ privilégié d’action : médias publiques français et presse écrite privée de France. Leur action : neutraliser, « liquider » et marginaliser les activités de la journaliste ou du journaliste congolais de l’Europe. Comme vous le savez, leur travail en France a commencé avec des « communicants de la république »,… avec des individus politiques comme Lambert Mende (ancien chef rebelle RCD qui ne s’est pas encore expliqué judiciairement sur les enterrements vivants des femmes civiles congolaises vivantes ; faits par le RCD)…et des extrémistes « techniciens/technocrates » que nous connaissons. Et ce travail de rouleau compresseur continue avec le passage visible du politique Kin Kiey Mulumba Tryphon (ancien chef rebelle RCD qui ne s’est pas encore expliqué judiciairement sur les enterrements vivants des femmes civiles congolaises vivantes ; faits par le RCD). Prière ne jamais vous plaindre si des journalistes français leur accordent une tribune. Ici, c’est la liberté, y compris un choix de la liberté de la presse. La journaliste ou le journaliste congolais de l’Europe doit éviter le sentimentalisme et une attitude dite « tribaliste ou ethnique » vu que la liberté de la presse dans son éthique, dans sa déontologie et dans sa pratique est menacée. Balancer des journalistes congolais de l’Europe n’a jamais résolu les crises armées et enchevêtrées au Congo,pays sous occupation où la guerre de basse intensité continue. Les nôtres (parents, amitiés, relations) sont sous des menaces de tous genres. La liberté de conscience du journaliste congolais de l’Europe ne doit pas accepter des “individus en Europe qui s’autoproclament journalistes” car nous voyons tous, les dégâts causés même en perte de vie humaine. Dans leurs calculs sur des « élections en vue en République Démocratique du Congo », ces individus, leurs « techniciens ou technocrates » sont à l’oeuvre et ont choisi le terrain français car la France est une Grande Puissance. C’est un tremplin car ils se disent qu’ils ont donné des marchés à des Français au Congo pour faire du business après que des Français se sont faits écarter lors des changements qui ont suivi la chute du président Mobutu et de son système causée par des intérêts anglo-saxons qui avaient décidé de faire cette guerre imposée depuis 1996-97 avec la sous-traitance des armées rwandaise, ougandaise,burundaise, angolaise et des mercenaires du Congo-Brazzaville, éthiopiens, somaliens, érythréens, tanzaniens et yéménites (NDRL: nous avions vu 12 familles originaires du Yémen). Nous sommes en France, un pays de l’Etat de droits, prière ne pas négliger d’échanger entre nous,avec l’autorité compétente française, avec à qui de droit du monde journalistique en France… Alors personne, même pas le passage médiatique de Kin Kiey Mulumba ; aucune personne ne doit faire faire enterrer des dossiers à traiter en tant que journalistes congolais de l’Europe comme les affaires du viol de la Congolaise Jeannette Abidge en temps de guerre interpellant Joseph “Kabila”, de l’agression de la Française Denise Ndzakou (l’ex-adjointe au maire de Montreuil-sous-bois) ou de Jacques Miango (Washington) par des gardes du corps de Joseph Kabila…; les affaires des projets d’enlèvement ou d’empoisonnement de certains journalistes congolais de l’Europe… Il y a des dossiers de l’arrestation du politique Diomi Ndongala, des fabrications étrangères des prétendues rebellions dans l’actuelle République Démocratique du Congo depuis 1996, de l’extrémiste rwandais Karenzi Karake, des fraudes-tricheries-hautes trahisons des « élections présidentielles » de Joseph “Kabila”, des assassinats massifs des civils à Kinshasa, des crimes et attitudes criminels dans l’ANR et DEMIAP…
Il y a des crimes et pillages économiques, le phénomène révolutionnaire des Combattants dans des pays occidentaux très soutenu par les Congolais;…les affaires d’évacuation en Europe des membres des familles des gens au pouvoir au Congo…les dossiers du Britannique Tony Blair et des infiltrés… Il y a des affaires sur les assassinats d’Armand Tungulu (abattu à bout portant par un individu connu), de Fidèle Bazana, de Chebeya Floribert, de l’officier Gilbert Lufungula, des disparitions des membres des familles traditionnelles royales du Congo, des Bakongo massacrés de Bundu dia Kongo, des millions des Congolaises violées, des Congolais de Scandinavie que des gens à Kinshasa ont fait impliquer dans l’assassinat du président Laurent Désiré Kabila…
Il y a l’impunité des extrémistes tueurs tutsi rwandais-ougandais. Il y a des dossiers sur des milliers d’exécutions extrajudiciaires des officiers, soldats et civils dans des bases militaires de Kitona, Kota Koli, Kamina… Lors de son passage en août 2015, il a été clandestin chez des Congolais de l’Europe. Monsieur Kin Kiey Mulumba Tryphon le messager du maintien au pouvoir du système josephiste et criminel de Joseph Kabila constitue un maillon de ce travail en Europe pour liquider des activités des journalistes congolais de l’Europe ; et cela avec un appui logistique des infiltrés, des gens autoproclamés journalistes congolais et la corruption. Lilo Miango/Rédaction de Paris. Photo de Jeannette Abidge et sa fille, née du viol pendant la guerre.* Josephiste et Kabilistes: dossier Front Civil de résistance Populaire écrit par Kalama Ilunga Jean. [1]: “Lokito eyokani”, en langue internationale Lingala: “la pertinence du message a été très largement entendue”.