Le Liban torture et emprisonne un “enfant libyen de 2 ans” par qu’il est Kadhafi.
France. Pays-Bas-Allemagne-Italie et Grande-Bretagne: une lecture du cas de Mr.Hannibal Kadhafi à travers des diasporas africaines et leurs convictions sur des réseaux libanais au pouvoir à Beyrouth. Le MAGAZINE NGAMBO NA NGAMBO évoque ici le cas terrible anti-droits de l’homme de l’Africain de la Libye Hannibal Kadhafi, enlevé, séquestré, emprisonné et victime des violences anti-droits de l’homme dans une prison libanaise de Beyrouth pour l’unique vrai motif d’être le fils du feu Guide Mouammar Kadhafi.
Ainsi est-il faux cet acquis dans des mentalités des Africaines et Africains de la diaspora quand ils réitèrent quotidiennement dans leurs foyers et devant des journalistes africains en Europe que des réseaux libanais et des catégories des immigrés condescendants dans des pays africains n’aiment pas les Africaines et Africains comme l’illustrent aussi les cas de la fraude électorale de l’élection “présidentielle” du 30 décembre 2018 en République Démocratique du Congo, des corruptions pour obtenir des marchés ou fraudes fiscales, des trafics des Noires Africaines esclavagisées ou prostituées dans des États arabes du Moyen-Orient…et l’affaire Liban-Hannibal Kadhafi ? Avec certains membres de la diaspora africaine, des détenteurs libanais des parcelles de pouvoir affirment eux-même que cette “affaire” était arrivée quand l’enfant africain Hannibal Kadhafi n’avait que 2 ans.
Dans l’attente probable des réponses à notre enquête chez ces Libanais concernés au Liban, notre média MAGAZINE NGAMBO NA NGAMBO publie cet «Appel pour la libération de Hannibal Kadhafi incarcéré au Liban sans jugement».
Ce communique de presse envoyé notre média par le Comité Permanent pour la Défense des Droits du Peuple Libyen. Ce comité a été fondé à Paris le 30/09/2016 par des juristes, des représentants d’associations, des journalistes, des intellectuels libyens et français. Après le report du premier voyage, enfin quelques membres de ce comité étaient partis déjà à Beyrouth pour visiter monsieur Hannibal. Mais, ils ont été mis dans des conditions pour ne pas le rencontrer. “Bomoi ya moto ya muana Afrika Hannibal Kadhafi”(1).
«Appel pour la libération de Hannibal Kadhafi incarcéré au Liban sans jugement.»
«Hannibal Kadhafi est incarcéré depuis le 14 décembre 2014 au Liban par les forces de sécurité intérieure, il est accusé d’avoir caché des informations sur la disparition, en 1978, de l’ancien président du Conseil supérieur chiite, l’imam Moussa Sadr ; alors qu’Hannibal Kadhafi avait deux ans à l’époque.
Hannibal Kadhafi, qui avait été enlevé en Syrie à la fin de l’année dernière et relâché sur la route internationale de Baalbeck-Homs après avoir subi de mauvais traitements, avait ensuite été remis à une patrouille des FSI, avant d’être déféré devant le juge d’instruction de Beyrouth, non compétent en ce qui concerne la disparition de l’imam Moussa Sadr depuis 2008. Le juge d’instruction Hamadé près de la Cour de justice qui a incarcéré Hannibal Kadhafi n’est pas non plus compétent pour s’occuper de l’affaire de Hannibal Kadhafi, puisque uniquement chargé de la disparition de l’imam Sadr et de ses deux compagnons, et cette affaire ne lui a pas été assignée par un décret ministériel,
Hannibal Kadhafi a été arrêté alors qu’il n’était pas poursuivi ni recherché par la justice. Dans le cas hypothétique où Hannibal Kadhafi aurait eu connaissance d’informations, sa non divulgation de ces informations ne constitue pas un acte incriminé dans le droit Libanais (art 410 aliéna 1 du code pénal Libanais).
Si le kidnapping de Hannibal Kadhafi n’avait pas eu lieu, M. Kadhafi n’aurait pas été arrêté, ni même entendu parce qu’il ne faisait l’objet d’aucun mandat ou demande avec la procédure pénale d’instruction commencée en 1981 et achevée en 2008. L’arrestation de M. Kadhafi va donc à l’encontre de la loi libanaise. Hannibal Kadhafi étant détenu en vertu d’un mandat d’arrêt émis postérieurement à son kidnapping et à sa détention arbitraire.
La détention de Hannibal Kadhafi n’est pas non plus conforme à la Charte des droits de l’homme des Nations unies que le Liban doit respecter ». Une plainte est en cours auprès d’une équipe spécialisée en matière de détention arbitraire aux Nations unies à Genève à l’encontre de l’État libanais concernant l’arrestation de Hannibal Kadhafi, « qui ne respecte ni le droit libanais ni le droit international ».
La délégation du Comité permanent pour la défense des droits du peuple libyen qui devait le rencontrer en prison ainsi que son avocat le 15/11/2016 à Beyrouth a préféré reporter son voyage au Liban d’une quinzaine de jours, suite aux élections présidentielles libanaises et la mise en place du gouvernement libanais.
Le comité permanent pour la défense des droits du peuple libyen».
Rédaction de Paris: journaliste panafricain Lilo Miango.
(1) En langue internationale Lingala: «les droits de l’homme de monsieur l’Africain Hannibal Kadhafi».
Mots-clefs : droits de l'homme, Hannibal Kadhafi, Liban