Musée Pigorini, à Rome (capitale de la République d’Italie).
Cette institution a plus des objets d’art qui viennent du KONGO/Congo, c’est-à-dire de l’actuelle République Démocratique du Congo.
HISTOIRE DU PATRIMOINE DES OBJETS D’ART “ya Kongo ya bankoko na biso”: que de l’argent perdu pour le trésor public de la RDC.
Un reportage au Musée Pigorini?
Notre média international MAGAZINE NGAMBO NA NGAMBO ne peut pas se déplacer à cause de la pandémie Covid-19 vu certaines complications administratives “à l’italienne”.
Alors, une rédaction de ce storytelling/Lisakoli est pour orienter les gens qui nous lisent et des masses africaines ou amis des peuples africains qui devraient s’intéresser à nos objets d’art “ya Kongo ya bankko na biso”.
Dans ce créneau du patrimoine des objets d’art, avoir une véritable politique culturelle gouvernementale et des compétences (expertises) de ce passé toujours présent, c’est pour l’élévation de soi-même (finir ce complexe d’infériorité, des “bisenga senga”, neutraliser ces aliénations mentales, effacer les grégaires “bilanda landa”…). Cela peut avoir du positif. Cela a une influence dans la bonne gouvernance du pays RDC (sauf si des dirigeants ont une problématique d’aliénation mentale par rapport à n’importe quel pays). Cela peut avoir des retombées d’argent pour le trésor public et des emplois à créer.
Ces Jésuites de cette époque-là.
C’est bel et bien la congrégation des religieux chrétiens Jésuites qui était là-bas, au Kongo. Et pendant de très nombreuses et très longues années, cette congrégation des Jésuites avait “collecté” ces objets d’art ya Kongo ya bankoko na biso.
“Aah basango Jésuites. Balata soutani mpo na bonganga nzambe. Kasi biloko ya motuya ya bankoko, yango elekaki na nzela ya kofakwa na loma to na mayele mabe”. Les programmes européens des calculs de ces Jésuites étaient de collecter les merveilles du monde.
Lilo Miango/Rédaction de Paris.
“Visitez la République Démocratique du Congo, l’autre pays des grands journalistes”.