PARIS: le journaliste charismatique libanais Elias Masboungi,aussi personnalité intéressante pour le journalisme congolais: invité par la télévision BFM pour “l’affaire homme d’affaires Carlos Ghosn le fuyard du Japon “.
“Losako”* à monsieur Elias Masboungi, personnalité journalistique a oeuvré avec le journaliste congolais Lilo Miango. Un résultat et ce bilan historique : visibilité internationale inédite du journalisme africain sub-saharien, notamment congolais.
DEUX NEWS DANS CE STORYTELLING.
Primo, pour la première information. BFM, cette chaine privée française a invité le journaliste libanais Elias Masboungi qui vit à Paris. C’était pour des analyses sur l’affaire de la fuite du Japon de l’homme d’affaires français Carlos Ghosn parti se cacher au Liban.
Secundo. Pourquoi notre MAGAZINE NGAMBO NA NGAMBO parle-t-il de ce journaliste charismatique libanais après son passage très suivi à travers le monde vu l’actualité judiciaire internationale sur l’évasion de Carlos Ghosn, le Libanais-Français homme d’affaires peu recommandable ?
En effet, dans sa collaboration avec le journaliste de la République Démocrtique du Congo Lilo Miango à qui il a ouvert les portes de l’APE (Association de la Presse Etrangère fondée en 1883 qui comprend plus de 1200 journalistes accrédités en France), c’est bel et bien le JOURNALISTE LIBANAIS ELIAS MASBOUNGI qui est sous les feux de l’actualté de notre média après avoir été sous les feux du BFM. En effet, il CONTRIBUA à faire connaître en profondeur le JOURNALISME CONGOLAIS DANS DES MILIEUX INTERNATIONAUX. Il n’a jamais bloqué les initiatives et le lobbying du journaliste Lilo Miango dont le premier contact avec son collègue libanais a été soutenu moralement par le journaliste congolais jeune et célèbre Yves Kambala car un Congolais avait tenu des propos pour démoraliser Lilo Miango afin de ne pas répondre à ce rendez-vous programmé à la Maison de Radio France, dans le bureau avec une grande baie vitrée pour voir le fleuve La Seine et des passages des bateaux. Auparavant, les journalistes Elias Masboungi et Lilo Miango s’étaient rencontrés par hasard à l’ambassade du Liban, dans le quartier de la station du métro Victor Hugo. Nous sommes en 2001, et une nouvelle page commence, sans peut-être le savoir, sur la visibilité inédite des masses majoritaires des journalistes africains qui ne bossaient pas pour des médias français. L’étape du “ghetto”, c’était un peu de l’histoire ancienne. On a commencé à nous regarder autrement, surtout positivement.
Voici quelques exemples qui parlent encore en ce moment : des mises en contacts directs à Paris ou à partir de Paris avec des décideurs y compris ceux de premiers plans c’est-à-dire des personnalités, françaises, chinoises, libanaises, iraniennes, libyennes, syriennes, russes, suisses, tunisiennes, britanniques, jordaniennes, algériennes, marocaines, ivoiriennes, américaines, japonaises, chiliennes, canadiennes, allemandes, Palais de l’Elysée, Ministère de l’Economie et des finances de la France, Ministère des affaires étrangères de la France, des élus de l’ONU, de l’Union Européenne, de l’Union Africaine…; Nouvelle-Zélande, Angola, Arabie Saoudite, Emirats Arabes, Qatar, Haïti, Australie, familles royales de l’Europe et du Moyen-Orient, Congo-Brazzaville, Egypte, Lituanie, Estonie, Togo,…
D’autres exemples : dans des TRIBUNES MEDIATIQUES où le journalisme congolais de la RDC ne pouvait pas jadis atteindre ni avoir de la visibilité internationale. Et partant, dès 2001, on est invité dans les autres grands médias occidentaux pour des analyses selon notre sociologie des médias.
Débuté en 2001-2002, ce travail inédit des pionniers de ce duo journalistique Elias Masboungi & Lilo Miango a aussi “boosté” des visibilités des journalistes africains, haïtiens…Le journaliste libanais avait été un grand président de l’APE. Et à un moment donné le journaliste congolais Lilo Miango fût le secrétaire général de l’APE.
Ici dans ces lignes, nous n’oublions pas l’environnement favorables des autres journalistes de l’APE et de la secrétaire de l’Association de la Presse Etrangère, madame Carline. Voilà en peu des mots, une histoire du journalisme congolais en France, grand pays du journalisme qui a impacté dans beaucoup de pays dans le monde.
Nkumu/Rédction de France et Lupungu Ndjate Albert/Rédaction de Genève.
*”Losako”, mot en langue internationale Lingala: “salutations avec beaucoup de respect”. Ici, ce mot est utilisé pour saluer avec respect des services rendus grâce à la bonne volonté du journaliste libanais Elias Masboungi pour le travail visionnaire en duo Elias Masboungi et Lilo Miango pour la visibilité inédite et internationale du journalisme africain et des journalistes africains (cas ici du Congo).
Illustration/Capture à l’écran de télévision BFM montrant le journaliste libanais Elias Masboungi, jeudi 2 janvier 2020: Magazine Ngambo Na Ngambo (Bureau de Genève)
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